EAN13
9782883402119
ISBN
978-2-88340-211-9
Éditeur
Métropolis
Date de publication
Nombre de pages
120
Dimensions
17,5 x 10,8 x 0,9 cm
Poids
104 g
Langue
français
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Une Orchidée qu'on appela Vanille (poche)

De

Métropolis

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Ce livre s’adresse aux passionnés de la botanique comme aux curieux de l’Histoire, aux cuisiniers en herbe comme aux simples gourmets. Nicolas Bouvier est le grand écrivain du voyage, ou plutôt, comme il aimait à le préciser, de « l’état nomade ». Ici, il nous emmène sur la route des épices, l’or des voyageurs, objet de convoitise et même, on le sait, monnaie d’échange multimillénaire. Liée à l’histoire du café comme à celle du chocolat, ces « drogues » qui ont changé l’Europe, celle de la vanille a quelque chose de romanesque : d’un obscur aromate mexicain mentionné pour la première fois au XVème siècle, elle finira par devenir, après moult pérégrinations et autres péripéties que l’auteur suit à la manière d’un enquêteur, un incontournable de nos livres de recettes.



Nicolas Bouvier (1929-1998), écrivain, poète, essayiste, photographe, iconographe et voyageur, est né à Genève. Il a publié une dizaine d’ouvrages, dont L’Usage du monde, Le Poisson-Scorpion, Chronique japonaise, Journal d’Aran et d’autres lieux, et aux éditions Metropolis, Routes et Déroutes (entretiens avec Irène Lichtenstein-Fall) en 1992, L’Échappée belle en 1996 et La Chambre rouge en 1998.



La première édition de Une Orchidée qu’on appela Vanille date de 1998. Nous la reproduisons ici dans son intégralité au format poche. Elle comprend ledit texte sur la vanille – qui était initialement destiné à un chocolatier de la Suisse centrale (qui, ruiné, n’a finalement rien pu en faire...), – enrichi de longs prolégomènes intitulés « Petite histoire de la vanille et quelques réflexions d’un cancre amoureux des plantes » et d’une iconographie où l’on reconnaît l’homme de métier. Nicolas Bouvier avait aussi tenu à inclure à cet ouvrage des recettes de Jules Gouffé, pâtissier célèbre de la fin du XIXème siècle. Michèle Stroun, éditrice, y adjoignit également la reproduction d'un « mot écrit à l’encre rouge pour Éliane, sa femme, petit mot intime, d’amour et de vanille » ainsi que de « six pages de manuscrits, arabesques noires tailladées de rouge », comme elle l’explique dans une très belle postface relatant l’émouvante rencontre qui donna naissance à notre livre.

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